#13 - Quand la science rencontre l’invisible
- il y a 2 jours
- 5 min de lecture

Podcast HAUTS LES CŒURS ! Sur Terre et Au-delà
Invité : Jacques Bauer
Ce podcast est une rencontre entre deux mondes que l’on croit souvent opposés : celui de la science et celui de la spiritualité.
Jacques Bauer, invité de cet épisode, incarne cette passerelle vivante. À travers son parcours, il nous invite à explorer une vision plus unifiée de la réalité, où la matière et l’invisible ne s’opposent plus, mais dialoguent.
Jacques Bauer est pharmacien, enseignant en biologie quantique, pionnier dans l’étude du sang vivant et fondateur du laboratoire AWD en Suisse.Il conjugue depuis plus de deux décennies rigueur scientifique, écoute intuitive et ouverture à la dimension vibratoire de l’humain. Ses recherches et sa pratique l'ont amené à collaborer avec les meilleurs spécialistes européens de la médecine énergétique.
Quelques extraits :
« Ce que nous appelons “santé” dépasse largement la matière. L’énergie, l’intention, les émotions et la conscience jouent un rôle majeur dans les processus de guérison. »
« La science décrit les phénomènes visibles ; la spiritualité ressent l’invisible. Mais les deux explorent le même mystère. »
« Nos pensées modifient notre biologie. C’est un changement de paradigme majeur : la conscience n’est pas le produit du cerveau, elle est peut-être à son origine. »
« Oser parler de l’invisible, c’est affirmer son humanité, sa sensibilité, son intuition. […] La vérité a souvent besoin de courage pour exister. »
« Ce que nous ne comprenons pas encore n’est pas nécessairement faux, mais peut-être juste pas encore mesurable. »
Écoutez l’épisode complet
Lien vers le podcast. Durée : 9 minutes
Vous pouvez également lire le dialogue intégral ci-dessous :
Jacques Bauer est pharmacien, enseignant en biologie quantique, pionnier dans l’étude du sang vivant et fondateur du laboratoire AWD en Suisse. Il conjugue depuis plus de deux décennies rigueur scientifique, écoute intuitive et ouverture à la dimension vibratoire de l’humain. Ses recherches et sa pratique l'ont amené à collaborer avec les meilleurs spécialistes européens de la médecine énergétique.
Ce podcast est une rencontre entre deux mondes que l’on croit souvent opposés : celui de la science et celui de la spiritualité.
Jacques Bauer, invité de cet épisode, incarne cette passerelle vivante. À travers son parcours, il nous invite à explorer une vision plus unifiée de la réalité, où la matière et l’invisible ne s’opposent plus, mais dialoguent.
Bonjour Jacques, merci d’être présent aujourd’hui pour ce podcast sur la science et la spiritualité. Quelques mots pour te présenter ?
Merci à toi pour cette belle invitation. Je suis Jacques Bauer, pharmacien-clinicien de formation, enseignant en biologie quantique, et fondateur du laboratoire AWD (Advanced Wellness detox), spécialisé en analyses du sang vivant sur microscopie à fond noir, bio-résonance, détoxication de l’organisme et santé intégrative, entre autres. Le système immunitaire est un thème majeur de référence pour moi. J’œuvre depuis plus de 35 ans à créer des ponts entre la rigueur scientifique et l’intelligence vibratoire de l’humain.
Tu viens du monde de la recherche scientifique. Qu’est-ce qui t’a amené à t’ouvrir à d’autres dimensions, à la spiritualité ?
Mon parcours scientifique m’a d’abord appris à observer, à douter, à chercher la preuve. Mais certaines expériences personnelles, des rencontres marquantes – dont celle avec le Dr Sandor Kulin – et surtout l’écoute des patients m’ont conduit à reconnaître que ce que nous appelons « santé » dépasse largement la matière. L’énergie, l’intention, les émotions et la conscience jouent un rôle majeur dans les processus de guérison. C’est cette réalité vécue qui m’a ouvert aux dimensions spirituelles.
Penses-tu que science et spiritualité parlent parfois de la même chose… mais avec des mots différents ?
Absolument. La science décrit les phénomènes visibles ; la spiritualité ressent l’invisible. Mais les deux explorent le même mystère. Ce que la physique quantique découvre aujourd’hui – non-localité, intrication, champ d’information – résonne profondément avec ce que les traditions spirituelles enseignent depuis des millénaires. Nous ne sommes pas séparés, nous sommes interconnectés.
La biorésonance, c’est une approche qui repose sur des bases scientifiques mais qui ouvre aussi vers d’autres niveaux de réalité. Comment tu expliques ça à quelqu’un qui n’y croit pas ou qui doute ?
Je commence par rappeler que tout dans l’univers est vibration. Nos cellules, nos organes, nos pensées, tout émet une fréquence. La biorésonance capte ces signaux et identifie les déséquilibres avant même qu’ils se manifestent physiquement. Ce n’est ni magique ni ésotérique, c’est une technologie qui repose sur l’analyse fréquentielle, comme on le fait déjà en médecine avec l’électrocardiogramme ou l’IRM fonctionnelle. À ceux qui doutent, je propose simplement d’expérimenter. Nous sommes là pour cela !
Toi qui connais bien les deux mondes, est-ce qu’il y a des ponts réels entre science et conscience ?
Oui, et ces ponts deviennent de plus en plus visibles. Des disciplines comme la neuroplasticité, la psycho-neuro-immunologie ou la médecine quantique démontrent comment la conscience influence la matière. Nos pensées modifient notre biologie. C’est un changement de paradigme majeur : la conscience n’est pas le produit du cerveau, elle est peut-être à son origine.
Est-ce que tu dirais que tout est énergie, information, vibration ? Et comment ça change notre manière d’aborder la santé, par exemple ?
Oui, c’est l’essence même de la vie. L’énergie, c’est le mouvement ; l’information, c’est la forme que prend ce mouvement ; et la vibration, c’est leur langage. En santé, cela veut dire qu’on ne soigne plus seulement un symptôme ou un organe, mais qu’on réinforme un champ perturbé. On restaure une cohérence vibratoire. Cela ouvre la voie à une médecine plus préventive, plus respectueuse de l’individu, et surtout plus globale.
Qu’est-ce que tu aimerais dire à celles et ceux qui ont foi en l’invisible mais qui n’osent pas en parler, de peur de ne pas être pris au sérieux ?
Je leur dirais que ce que l’on ressent profondément est souvent plus réel que ce que l’on peut prouver. Oser parler de l’invisible, c’est affirmer son humanité, sa sensibilité, son intuition. Et c’est en le faisant avec humilité, sans prosélytisme, que l’on peut inspirer les autres à sortir du carcan du matérialisme pur. La vérité a souvent besoin de courage pour exister.
Et à l’inverse, à ceux qui ne jurent que par la science dure, quel message aurais-tu envie de passer pour ouvrir le champ des possibles ?
Je leur dirais : continuez à chercher, mais n’oubliez pas de ressentir. La science n’a pas à être opposée à la spiritualité ; elle peut en être la confirmation. Ce que nous ne comprenons pas encore n’est pas nécessairement faux, mais peut-être juste pas encore mesurable. Restons curieux. Car c’est cette curiosité, libre de dogmes, qui fait avancer la science… et l’humanité.
Citation de conclusion
« Ce que nous appelons ‘réel’ est fait de choses que nous ne pouvons pas voir. »– Max Planck, père de la physique quantique.
Que c'est Merveilleux , de pouvoir entendre un scientifique parler un tel langage avec autant de simplicité , : ce qu'est l'Humain , bien au-delà de son aspect physique . C'est Grandiose et réconfortant pour ce que nous sommes réellement . Merci ..